Lehrerfortbildung: Unterrichten und selbständiges Arbeiten mit www. france-blog.info

Unterrichten und selbständiges Arbeiten mit > www.france-blog.info

Landesmedienzentrum Baden-Württemberg

Online-Seminar
Do, 24.09.2020, 17.00 – 18.00 Uhr
Referent: Dr. Heiner Wittmann
Moderation: Stephanie Wössner

> lmz-bw.de/statische-newsroom-seiten/schule-machen-in-zeiten-des-coronavirus/online-seminare/#/statische-newsroom-seiten/schule-machen-in-zeiten-des-coronavirus/online-seminare/#c60123

Auf dem seit 2006 bestehenden Frankreich-Blog des Historikers und Romanisten Dr. Heiner Wittmann finden sich rund 4000 veröffentlichte Beiträge. Zu den Schwerpunkten des Blogs gehören, u. a.

Online #Französischlernen
Web 2.0 Online-Lernen
Fachdidaktik
Literatur
Deutsch-französische Beziehungen

In der digitalen Sprechstunde wird der Blog vorgestellt. Viele Blogbeiträge enthalten Aufgaben für Schüler/innen. Anhand ausgewählter Beispiele wird gezeigt, wie Schüler/-innen durch die Arbeit mit den Beiträgen auf dem Blog zum selbständigen Arbeiten oder zum Arbeiten in Gruppen angeleitet werden. Durch die Ausrichtung der Inhalte und der Arbeitsvorschläge eignen sie sich genauso für den Präsenzunterricht wie für den Fern- oder Mischunterricht.

Tagung der Groupe der Groupe d’études sartriennes GES in Paris 2020: Call for paper

Le Groupe d’Études Sartriennes (GES) lance son appel pour le colloque annuel qui se tiendra les 19 et 20 juin 2020 à Paris: En Sorbonne, amphithéâtre Milne Edwards, Paris IV, Niveau F.

L’objectif du GES, qui réunit chaque année une soixantaine de spécialistes de Sartre (universitaires ou non) est de soutenir le développement des perspectives nouvelles sur cette oeuvre majeure, de permettre aux enseignants et aux chercheurs de présenter leurs travaux en cours et de promouvoir les études sartriennes à un niveau national et international. Le GES propose aux enseignants et chercheurs débutants ou confirmés de soumettre une proposition de communication scientifique originale portant sur la pensée et les écrits de Sartre (littérature, philosophie, textes politiques), ou dont l’objet (auteur, question) est en relation directe avec ceux-ci.

Zum Herunterladen: > Argumentaire colloque GES 2020

> Groupe d’études sartriennes GES – > Sartre-Gesellschaft, Berlin

Pour l’édition 2020, le GES souhaite encourager deux séries de propositions de communication portant sur la question de l’esthétique sartrienne d’une part, et sur la trilogie Les Chemins de la liberté d’autre part.

Pour autant, ces deux thématiques sont bien des propositions et non des contraintes ; elles laissent ainsi toute latitude aux propositions les plus diverses afin de rendre compte de l’oeuvre de Sartre dans toutes ses dimensions (roman, théâtre, philosophie, essais sur la littérature, réflexion politique) ainsi que de la relation entre cette oeuvre et celle d’autres écrivains et philosophes.

1. Esthétique(s) de Sartre

Si Sartre n’a pas produit de théorie esthétique à proprement parler dans un ouvrage unifié, de très nombreux fragments de son oeuvre témoignent d’un intérêt profond et sans cesse renouvelé pour les questions esthétiques, au croisement de la littérature et des arts plastiques. On dispose de plusieurs ouvrages et articles sur la question, parmi lesquels on mentionnera notamment : Michel Sicard, Sartre et les arts, Obliques nº 24-25 (Nyons, Éditions Borderie, 1981), Heiner Wittman, L’esthétique de Sartre : artistes et intellectuels (Paris, L’Harmattan, 2003), Sophie Astier-Vezon, Sartre et la peinture. Pour une redéfinition de
l’analogon pictural (Paris, L’Harmattan, 2013). Pour autant, l’esthétique reste un champ encore assez peu exploré des études sartriennes. La proposition du Colloque vise à combler cette lacune, en posant la question : une ou plusieurs esthétique(s) chez Sartre ?

« Esthétiques » au pluriel, dans la mesure où l’objet lui-même est pluriel, partagé entre deux régimes esthétiques : les arts visuels (peinture, sculpture, cinéma, urbanisme) et la littérature, passibles de deux grilles d’intelligibilité différentes. Les descriptions sartriennes d’oeuvres visuelles prennent place dans une théorie générale de l’image comme type de conscience intentionnelle. La conclusion de L’Imaginaire (Paris, Gallimard, 1940) esquisse les linéaments d’une phénoménologie de l’objet esthétique comme irréel, qui sera mise en oeuvre par la suite sur des figures précises d’artistes, reprises dans les volumes III, IV et IX des Situations : Tintoret, Giacometti, Calder, Masson, Rebeyrolle, Wols, Lapoujade. La littérature quant à elle est envisagée et valorisée sous l’angle moral et politique comme engagement et praxis de dévoilement (Qu’est-ce que ma littérature ?, 1947), au moyen de « mots chargés comme des pistolets », à rebours de toute attitude de survol.

Un premier axe de ce volet du Colloque consistera alors à se demander s’il existe une unité de l’esthétique sartrienne. La littérature-praxis telle que l’envisage Sartre dans les années 1940 n’est-elle pas un refus de l’esthétisation du réel, tombant du même coup en dehors du domaine de l’esthétique, confiné à l’irréel ? Le modèle sartrien de l’engagement de l’écrivain ne conduit-il pas à dévoyer le champ de l’esthétique ?

En effet, ni le fait pictural, ni le fait littéraire ne semblent envisagés dans leur autonomie proprement esthétique, puisqu’ils renvoient à des modes d’intelligibilité plus larges : la conscience imageante et irréalisante d’une part, la praxis engagée et située d’autre part. Dès lors, l’esthétique sartrienne ne court-elle pas le risque d’être deux fois dissoute par chacun des deux modèles, l’image et la praxis ? Ou au contraire, ces deux grilles d’intelligibilité ne sont-elles pas l’occasion d’une reformulation et d’un enrichissement de la question esthétique, et de son autonomie éventuelle ? D’où la question également de la place de Sartre au sein du modernisme esthétique : en ouvrant le fait esthétique sur ses dehors – le monde des images au sens lare, le monde socio-historique de la praxis – Sartre ne tord-il pas le cou à l’exigence princeps du modernisme consacrant l’autonomie du médium artistique ? À travers cette question, s’ouvre la possibilité d’actualiser l’esthétique sartrienne en la faisant dialoguer avec des courants postérieurs au modernisme : par exemple, les Visual Studies, à travers les travaux de W. J. T. Mitchell, ou les réflexions de Fredric Jameson sur le postmodernisme.

Un deuxième axe de réflexion, dans le droit fil du premier, consistera à se demander dans quelle mesure l’épreuve du marxisme à partir des années 1950 ne vient-elle pas effriter la dichotomie instaurée par Sartre entre les deux modèles de l’engagement et de l’imaginaire, relançant à nouveaux frais la question d’une cohérence de l’esthétique sartrienne : dans quelle mesure le matérialisme historique est-il à même de fournir cette cohérence ? La question est ainsi ouverte de savoir quelle place occupe l’esthétique de Sartre au sein du « marxisme occidental » qui, depuis Lukács, met l’esthétique au coeur de ses préoccupations. La discussion entre Sartre et ses interlocuteurs de L’Institut Gramsci qui suit sa conférence de 1961, « Marxisme et subjectivité », peut notamment constituer un fil conducteur à cette question (cf. J.-P. Sartre, Qu’est-ce que la subjectivité ?, Paris, Les Prairies Ordinaires, 2013).
Quel rôle l’esthétique sartrienne accorde-t-elle par ailleurs aux « disciplines auxiliaires » (sociologie, histoire, anthropologie, psychanalyse, etc.) convoquées dans Questions de méthode ? On pourra se demander ainsi quelles sont les spécificités herméneutiques de la méthode progressive-régressive, dès lors qu’il s’agit de ressaisir une vie d’écrivain (Flaubert) ou de peintre (Tintoret), aux prises avec leur époque respective. Plus précisément, ce deuxième axe de réflexion fera la part belle à L’Idiot de la famille, dans la mesure où la praxis d’écrivain de Flaubert est ressaisie au prisme de l’imaginaire collectif de toute une classe, de toute une époque. Dans la mesure également où Sartre propose une redéfinition de l’oeuvre d’art au sens large comme « centre permanent, réel et reconnu d’irréalisation » (L’Idiot de la famille, t. I. Paris, Gallimard, 1971, p. 786), Sartre fait ainsi droit à la matérialité pratico-inerte de l’oeuvre en tant que produit social et marchandise, cette matérialité constituant le support des actes d’irréalisation que le créateur, comme le spectateur, accomplissent à l’endroit de l’oeuvre. Une telle redéfinition matérialiste de l’oeuvre constitue-t-elle un fil conducteur pertinent à l’esthétique sartrienne, soucieuse d’éviter le
piège de l’esthétisation du réel ?

2. Les Chemins de la liberté
Soixante-quinze ans après la parution du premier de ses trois volumes, L’Age de raison, le cycle romanesque des Chemins de la liberté apparaît trop souvent comme le mal-aimé de l’oeuvre littéraire de Sartre et comme le parent pauvre des études sartriennes, loin derrière l’intérêt suscité par La Nausée ou encore Les Mots. Il semble donc pertinent de se pencher de nouveau sur une oeuvre majeure, à la fois pour s’interroger sur ce statut négatif, afin de le comprendre et de le dépasser, et pour rendre toute sa place à un projet romanesque d’ampleur, le plus ambitieux de cette oeuvre, et que Sartre avait en tête dès le début des années trente lorsqu’il échafaudait son programme littéraire : d’abord le « factum » sur la contingence – ce serait La Nausée, paru en 1938 -, puis les nouvelles – Le Mur, paru en 1939, et enfin ce que Sartre a toujours désigné comme « le roman ».
S’il est ainsi intéressant d’observer que Les Chemins de la liberté relève de la volonté clairement affichée de se saisir de toutes les possibilités du genre romanesque en créant une véritable fresque nourrie de personnages multiples, cette ambition doit être mise en relation avec l’inachèvement du cycle et, plus encore, le fait qu’il marque la fin de l’écriture romanesque chez Sartre. Il sera donc fécond de s’interroger non seulement sur la relation entre cette oeuvre et la critique littéraire poursuivie par Sartre à la même époque, particulièrement sa réflexion sur l’art et les techniques romanesques (les articles réunis dans Situations I., notamment les textes sur Mauriac, Camus, Faulkner, Dos Passos…) mais également sur le lien entre les innovations formelles mises en oeuvre dans les trois romans et les réflexions déjà présentes dans les Conférences du Havre sur le roman données par Sartre durant l’hiver 1932-1933 et publiées en 2012 par la revue Études sartriennes.

De même, s’agissant d’une oeuvre rédigée durant les années charnières qui voient Sartre écrire certaines de ses oeuvres les plus marquantes, tous genres confondus (des Carnets de la drôle de guerre à L’Être et le néant en passant par Huis clos et Les Mouches), il sera possible de reprendre la question maintes fois posée de la relation, chez Sartre, entre les idées et la fiction, le roman et la philosophie, mais aussi de considérer l’influence de l’écriture théâtrale sur l’écriture romanesque. Enfin, parce qu’elle rend compte d’une réflexion nouvelle sur l’Histoire et la dimension collective de la liberté, parce qu’elle s’écrit – et s’inscrit – durant les années cruciales qui vont de la drôle de guerre aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale (le troisième volume, Le Sursis, est publié en
1949, peu de temps après l’interruption de l’écriture des Cahiers pour une morale), cette oeuvre occupe, à l’évidence, une place elle-même centrale, et qu’il importe de mieux définir, dans l’évolution philosophique, morale et politique de Sartre.
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Les communications, généralement présentées en français, peuvent également l’être en anglais. Dans ce cas, il sera demandé à l’orateur de fournir, à l’avance, un résumé en français à destination des auditeurs du colloque. Les propositions de communication, qui doivent comporter un titre et un résumé en un paragraphe, sont à faire parvenir aux secrétaires du GES pour le 10 février 2020. Les communications ne devront pas excéder 30 minutes.

Prière de faire parvenir vos propositions de communication aux deux secrétaires, en les adressant à l’adresse électronique personnelle de chacun d’eux, et non à l’adresse du GES.

Président du GES :
Michel Contat > contat.michel@wanadoo.fr

Secrétariat du GES :
Alexis Chabot > alexis.chabot@orange.fr
Hervé Oulc’hen > oulchenherve@gmail

Conférence inaugurale : Sartre : genèse des thèses sur l’imaginaire

Le Séminaire général de critique génétique de l’ITEM reprendra le :
1er octobre 2019 de 17h à 19h
à l’École normale supérieure, 29, rue d’Ulm, 75005 Paris, Salle U207.
Conférence inaugurale : Sartre : genèse des thèses sur l’imaginaire


Jean BOURGAULT (Lycée Condorcet, Paris), Alexis CHABOT (Maître de conférences à Sciences Po Paris, chargé de cours à l’Université Paris I), Grégory CORMANN (Maître de conférences à l’Université de Liège Président du département de philosophie de l’Ulg), Gautier DASSONNEVILLE (Docteur en Philosophie et Lettres (Université de Liège / Université de Lille-3), Laurent HUSSON (Maître de Conférences à l’Université de Lorraine), Nao SAWADA (professeur à l’Université Rikkyo, Tokyo), Juliette SIMONT (Maître de recherches au Fonds National de la Recherche scientifique de Belgique, chargée de cours à l’Université Libre de Bruxelles).

Sartre n’a jamais cessé de s’interroger sur l’imagination ; nous nous proposons de mettre en question la signification de cette insistance en travaillant sur le mémoire de fin d’étude que le jeune Sartre a présenté en 1927, texte jusque-là inédit, récemment publié par Gautier Dassonneville : L’image dans la vie psychologique, rôle et nature (1927, Etudes Sartriennes, n° 22, Garnier, 2018). Le défi que constitue ce texte est impressionnant. Il invite à comprendre plus avant ce qu’était le champ des études philosophiques et psychologiques en France dans l’entre-deux guerres, mais aussi ce qui fait la position déjà extraordinairement singulière de Sartre dans ce champ, la nature des principes qui gouvernent son écriture et la dynamique qui s’y invente, pièce essentielle de la genèse des textes publiés ensuite par Sartre – et tout particulièrement ceux consacrés à l’imagination et l’imaginaire. Mais on peut aller plus loin encore : l’ensemble éclaire toute l’approche sartrienne de l’herméneutique de la création, littéraire (les textes sur Flaubert, notamment), et philosophique. Ces pages, écrites avant la lecture sartrienne de Husserl et Heidegger, rendent compréhensible ce que sera l’orientation phénoménologique de leur auteur, et renouvellent l’approche génétique de l’œuvre à venir.

ITEM – CNRS ENS (UMR 8132)

45 rue d’Ulm 75005 Paris

Tel (+33)1 44 32 30 45

Staatsoper Stuttgart: Offenbachs Les Contes d’Hoffmann
Fr. 8.3.’19: Gastvortrag von D. Cohen-Levinas

Dieses Jahr feiert Köln und mit der Stadt auch Frankreich und Deutschland den 200. Geburtstag von Jacques Offenbach (1819-1880). Am 8.3.2019 ist Internationaler Frauentag und zu diesem Tag haben die Staatsoper und das Institut français de Stuttgart die Pariser Professorin Danielle Cohen-Levinas zu einem Vortrag eingeladen. Danach findet die Aufführung der Contes de Hoffmann statt. Seine Oper wird ab dem 30. Januar 2019 wieder in Stuttgart gespielt. Jacques Offenbach war es, der mit seinen 110 Operetten und Bühnenwerken im Zweiten Kaiserreich (1852-1870) dem Regime eine nationale und internationale Bühne geboten hat > Napoleon III. Macht und Kunst, Reihe Dialoghi/dialogues. Literatur und Kultur Italiens und Frankreichs, hrsg. v. Dirk Hoeges, Band 17, Verlag Peter Lang, Frankfurt, Berlin, Bern u. a., 2013.

Bühne Les contes d’Hoffmann / Nuit de femme
Fr 8.03. | ab 18:15 Uhr | Staatsoper Stuttgart | Oberer Schlossgarten 6, 70173 Stuttgart I Karten unter: tickets@staatstheater-stuttgart.de

Der Abend beginnt um 18.15 Uhr mit einem Gastvortrag von Prof. Danielle Cohen-Levinas (Université de Sorbonne) – „Auf der Suche nach der Kreativität der Musen“ (Foyer, I. Rang).

Danielle Cohen-Levinas studierte nach einer Ausbildung zur Pianistin am Pariser Konservatorium, Philosophie und Musikwissenschaften. Seit 1998 lehrt sie als Professorin für Musikästhetik und Musikphilosophie an der Sorbonne. Im selben Jahr gründete sie das « Centre d’esthétique, musique et philosophie contemporaine » sowie 2008 das « Collège des études juives et de philosophie contemporaine », das 2012 in « Centre Emmanuel Levinas » umbenannt wurde.
Der Vortrag findet auf frz./dt. statt.

Um 19 Uhr Aufführung der phantastischen Oper von Jacques Offenbach, „Les contes d’Hoffmann“. Libretto von Jules Barbier. Koproduktion der Oper Stuttgart mit dem Teatro Real Madrid.

Ab ca. 23 Uhr: Im Anschluss an die Vorstellung „Les contes d’Hoffmann“ findet im Rahmen des internationalen Frauentags eine Nacht der Musen statt. Mit DJane und kulinarischen Spezialitäten à la française. Eintritt frei.

Der Abend ist eine Kooperation zwischen der Staatsoper Stuttgart und dem Institut français Stuttgart.

 

Saison 2018/19:
> Les Contes d’Hoffmann
Vorstellungen
30. Januar 2019
08. / 14. / 17. / 24. (nm) / 28. Februar 2019
08. / 11. / 13. März 2019

Ein surrealer Traum
Offenbachs > Les Contes d’Hoffmann kehrt unter der Leitung von Marc Piollet zurück auf den Spielplan der Staatsoper Stuttgart

Am Mittwoch, 30. Januar 2019, um 19 Uhr kehrt Jacques Offenbachs phantastische Oper Les Contes d’Hoffmann in der Inszenierung von Christoph Marthaler zum ersten Mal seit der Premierenserie im Jahr 2016 wieder auf die Stuttgarter Opernbühne zurück. Die Ausstattung der Koproduktion mit dem Teatro Real Madrid stammt von Anna Viebrock. Die Musikalische Leitung liegt in den Händen des französischen Dirigenten Marc Piollet.

Fotos: Martin Sigmund

Koproduktion mit
dem Teatro Real Madrid
Musikalische Leitung
Marc Piollet
Regie Christoph Marthaler
Regie-Mitarbeit
Joachim Rathke
Bühne und Kostüme
Anna Viebrock
Licht Olaf Winter
Choreografie Altea Garrido
Dramaturgie Malte Ubenauf
Chor Bernhard Moncado
Hoffmann Atalla Ayan
Nicklausse Angela Brower
Stimme der Mutter Maria Theresa Ullrich
Nathanaël Moritz Kallenberg
Spalanzani Graham F. Valentine
Hermann Paweł Konik
Schlemihl Andrew Bogard
Luther / Crespel Matthew Anchel

In den Hauptpartien debütieren gleich mehrere Mitglieder des Solistenensembles der Staatsoper Stuttgart: Atalla Ayan, der in der laufenden Spielzeit an den Opernhäusern in Sydney, Buenos Aires, Toronto, New York und München mit großen Rollen seines Fachs gastiert, singt in dieser Produktion erstmals Hoffmann. Olga Busuioc debütiert als Antonia und Giulietta und Adam Palka als die vier Bösewichte Lindorf, Coppélius, Dapertutto und Miracle. Lisa Mostin (Olympia) und Angela Brower (Nicklausse) sind erstmals an der Staatsoper Stuttgart zu Gast.

Während der Künstler Hoffmann auf die leidenschaftlich geliebte Stella wartet, deren Gunst ihm allerdings von einem Gegenspieler streitig gemacht wird, erzählt er von den obskuren Objekten seiner Begierde – von Olympia, dem Automaten, von Antonia, der sterbenskranken Sängerin und von Giulietta, der Kurtisane. In all diesen Liebesgeschichten scheitert Hoffmann. Und Stella, Olympia, Antonia und Giulietta verschwimmen zu einem Zerrbild der Liebe.

Karten
Online > www.staatsoper-stuttgart.de
Telefonisch +49 711 20 20 90
Montag bis Freitag 10 bis 20 Uhr, Samstag 10 bis 18 Uhr
An der Theaterkasse
Königstraße, 1D (Theaterpassage), 70173 Stuttgart
Montag bis Freitag 10 bis 19 Uhr, Samstag 10 bis 14 Uhr

Benefizkonzert in der Wilhelm-Gedächnis-Kirche in Berlin zugunsten des Projekts „Eine Orgel für Riga“

Sonntag, 28. Oktober 2018, 20 h

Benefizkonzert in der Wilhelm-Gedächtnis-Kirche in Berlin
zugunsten des Projekts > Eine Orgel für Riga

Im Artikel über diese Orgel in Wikipedia > https://de.wikipedia.org/wiki/Orgel_der_Petrikirche_(Riga) steht:

„Der lettische Architekt Peteris Blums, der der Projektbeauftragte ist, sagte: ‚Wenn die Petri-Kirche ihre Stimme wiederhat, ist für die Rigaer Altstadt der Zweite Weltkrieg endgültig zu Ende.‘ “

Vor 50 Jahren Mai 68

DieVeranstalter vom Litcamp18, 16.-17. Juni in Heidelberg, haben mir vorgeschlagen, eine Session zum Mai 68 zu halten. Das geht und hier steht schon mal eine > Bibliographe zum Mai 68.

Langfristige Ursachen bestimmten die Mai-Ereignisse 1968 in Paris. Die politische Weltlage, der ausufernde Vietnam-Krieg und die weltweiten Proteste dagegen, waren dazu geeignet, der Jugend immer mehr ein Gefühl der Ohnmacht zu vermitteln. Aber im März konnte man noch nicht vorhersehen, dass der Jahrestag einer wenig erfolgreichen Besetzung auf dem Campus Nanterre schon am 2. Mai die Schließung dieser Universität zur Folge haben würde. Am 3. Mai räumte die Polizei die Sorbonne, die Universitäten werden landesweit geschlossen, die  Arbeiter solidarisieren sich mit den Studenten, bald sind über 10 Millionen Arbeiter im Ausstand. General de Gaulle ordnet am 18. die Räumung der Sorbonne und des besetzten Odeon-Theater an: „Réfome oui, pas de chienlit,“ soll er gesagt haben, wobei sofort Plakate mit der silhouette des Generals auftauchen: „Le chienlient, s’est lui.“ Es kommt zu den „Accord des Grenelles“, die u.a. Lohnerhöhungen und einen Einstieg in die betriebliche Mitbestimmung vorsehen. Die kommunistischen Gewerkschaften bremsen die Bewegung. Als de Gaulle am 29. Mai stat nach Hause zu fliegen, den Kurs ändert, weiß man zhuerst nicht wohin er geflogen ist. Gibt er auf? Tritt er zurück? Regierungswechsel oder gar Wechsel der Republik.? Aber der Oberkommandierende der Forces Françaises en Allemagne, General Jacques Massu, bewegt ihn zur Rückkehr: De Gaulle spricht am 30. Mai im Radio: fast eine Million seiner Anhänger ziehen zur Place de la Concorde und von dort aus zum Triumphbogen. Der Mai 68 ist Gechichte.

In unserer Session untersuchen wir die Ereignisse mit den Reaktionen einzelner Personen: Daniel Cohn-Bendit, Jean-Paul Sartre, Georges Pompidou und Charles de Gaulle.

L’artiste vend des visions. Sartre et le Tintoret.
Conférence à Paris


| Vortrag in Köln | Vortrag in Paris |


Heiner Wittmann   > Bibliograhíe: Sartre und Tintoretto

Conférence. Le peintre vend des visions. Sartre et le Tintoret
Avec les études entre autres sur Baudelaire, Flaubert, Mallarmé, Masson, Giacometti et Calder, Jean-Paul Sartre a développé une théorie esthétique. Il a aussi analysé un grand nombre de tableaux du Tintoret. De cette manière, Sartre réussit à découvrir les raisons pour l’immense succès du peintre vénitien.
Musée du Luxembourg, 19 Rue de Vaugirard, 75006 Paris, jeudi 12 avril à 18 h 30.
> Vidéo

L’exposition > Tintoret. Naissance d’un génie
7 mars – 1er juillet 2018 … A l’occasion du 500e anniversaire de la naissance du Tintoret, le Musée du Luxembourg célèbre l’un des plus fascinants peintres … rassemblées rendent compte de la diversité du travail de Tintoret et de sa volonté de frapper l’œil et l’esprit par son audace. …

| Vortrag in Köln | Vortrag in Paris | Kataloge | Bibliographie: Sarte und Tintoretto | Œuvres de Sartre (choix) | Ausstellungen zu Sartre | Bibliographien zum Werk von Sartre | Sekundärliteratur |


Vortrag: > Der Künstler verkauft Visionen. Sartre und Tintoretto
Dr. Heiner Wittmann
Vortrag anlässlich der Ausstellung > Tintoretto – A Star was born – 6. Okt. 2017 – 28. Jan. 2018. Gemeinsam veranstaltet mit der Fritz Thyssen Stiftung im Wallraf-Museum in Köln.
Zeit: Donnerstag, 18.01.2018, 19 Uhr
Ort: Stiftersaal im Wallraf, Köln

Mit den Porträtstudien über Schriftsteller und bildende Künstler u. a. über Gustave Flaubert oder Albert Giacometti hat Jean-Paul Sartre eine ästhetische Theorie entwickelt, mit der er die Bedeutung ihrer Werke untersucht hat. In diesem Rahmen hat er eine größere Studie über Tintoretto und seine Gemälde konzipiert. Mit seinen präzisen Analysen seiner Werke wie „Der Heilige Georg und der Drache“, z. Zt. in der Ausstellung Tintoretto in Köln, und mit dem Vergleich vieler seiner Gemälde untereinander, gelingt es Sartre, ihre gemeinsamen Merkmale und die Gründe für den immensen Erfolg des venezianischen Malers aufzudecken. Das Ergebnis: Eine Anleitung für die Betrachtung seiner Bilder.

H. Wittmann, > Sartre und die Kunst

 

Bitte Vorschläge einreichen:
Colloque du GES à Paris 22 & 23 juin 2018

Die französische Sartre-Gesellschaft Groupe d’études sartriennes“ GES bittet um die Einsendung von Vorschlägen für das Kolloquium am 22. und 23. Juni 2018 in der Sorbonne.

Appel à Communications Colloque GES 2018

„Le GES propose aux enseignants et chercheurs débutants ou confirmés de soumettre une proposition de communication scientifique originale portant sur la pensée et les écrits de Sartre (littérature, philosophie, textes politiques), ou dont l’objet (auteur, question) est en relation directe avec ceux-ci.
Hors de ces contraintes, le GES ne prédéfinit aucune thématique particulière, laissant ainsi toute latitude aux proposants. L’objectif du GES, qui réunit chaque année une soixantaine de spécialistes de Sartre (universitaires ou non) est de soutenir le développement des perspectives nouvelles sur cette œuvre majeure, de permettre aux enseignants et aux chercheurs de présenter leurs travaux en cours et de promouvoir les études sartriennes à un niveau national et international.“

Les propositions de communication sont à faire parvenir à l’un des secrétaires du GES pour le 31 janvier 2018.

Prière d’utiliser l’adresse électronique personnelle des secrétaires:

Alexis Chabot > alexis.chabo at orange.fr
Florence Caeymaex > F.Caeymaex at uliege.be

Prière d’indiquer clairement dans l’Objet du message : „Proposition de communication/colloque GES 2018“.

Anfragen für Vorträge, Workshops, Fortbildungen und Rezensionen

Bitte richten Sie Ihre Anfragen für Vorträge, Workshops, Fortbildungen und Rezensionen an heiner.wittmann@romanistik.info.

Umständebedingt bieten wir z. Zt. Veranstaltungen auch per Video-Übertragung an.

Zu unserem Angebot gehören die Inhalte des Frankreich-Blogs > www.france-blog.info, der vollständig von unserer Redaktion hergestellt wird.

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> Die Veröffentlichungen unserer Redaktion auf einen Blick

Rupert Neudeck, Albert Camus und der Journalismus

Anläßlich der Tagung Albert Camus und die Kunst (14. bis 16. November 2003) im Schwäbischen Tagungs- und Bildungszentrum Kloster Irsee hat Rupert Neudeck einen Vortrag mit dem Titel Camus der Journalist gehalten. Nach seinem Vortrag berichtete Rupert Neudeck den Tagungsteilnehmern über die Geschichte der Hilfsorganisation CAP ANAMUR und über seine neue Organisation > Grünhelme.

> Das Vortragsmanuskript von Rupert Neudeck über Albert Camus *.pdf

Mit freundlicher Genehmigung von Rupert Neudeck.

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